Le métier d’enseignement de la conduite
Le secteur de la formation à la conduite regroupe plusieurs professions : enseignant de la conduite, gérant d’auto-école, formateur d’enseignants de la conduite, inspecteur du permis de conduire ou encore animateur de stages de récupération de points.
Ces métiers exigent avant tout un solide sens du relationnel et une grande capacité d’adaptation face à un public très varié, en âge comme en profil. L’écoute, la patience et le goût pour la transmission des connaissances sont essentiels. En un mot, il faut être pédagogue.
Si vous envisagez d’être
exploitant de votre propre auto-école, vous deviendrez certes votre propre patron, mais vous aurez aussi à gérer les ressources humaines : motiver une équipe d’enseignants de la conduite et coordonner le personnel administratif. Des compétences en gestion, en management et une veille active sur les évolutions législatives et pédagogiques seront indispensables. En somme, vous deviendrez le chef d’orchestre de votre structure.
Aimer conduire est bien sûr un atout, tout comme rester informé des innovations technologiques : aides à la conduite, systèmes électroniques embarqués, véhicules électriques ou hybrides, etc. Le discours pédagogique doit s’adapter à un véhicule d’apprentissage moderne.
Par ailleurs, une appétence pour le droit et la réglementation est utile pour suivre les évolutions du Code de la route, de la réglementation et des obligations des écoles de conduite.
Enfin, une bonne endurance physique et une organisation rigoureuse sont indispensables : ce métier inclut de longues heures au volant, des trajets et des horaires parfois décalés (soirées, pauses déjeuner, week-ends).
Les chiffres-clés
Ces métiers exigent avant tout un solide sens du relationnel et une grande capacité d’adaptation face à un public très varié, en âge comme en profil. L’écoute, la patience et le goût pour la transmission des connaissances sont essentiels. En un mot, il faut être pédagogue.
Si vous envisagez d’être
exploitant de votre propre auto-école, vous deviendrez certes votre propre patron, mais vous aurez aussi à gérer les ressources humaines : motiver une équipe d’enseignants de la conduite et coordonner le personnel administratif. Des compétences en gestion, en management et une veille active sur les évolutions législatives et pédagogiques seront indispensables. En somme, vous deviendrez le chef d’orchestre de votre structure.
Aimer conduire est bien sûr un atout, tout comme rester informé des innovations technologiques : aides à la conduite, systèmes électroniques embarqués, véhicules électriques ou hybrides, etc. Le discours pédagogique doit s’adapter à un véhicule d’apprentissage moderne.
Par ailleurs, une appétence pour le droit et la réglementation est utile pour suivre les évolutions du Code de la route, de la réglementation et des obligations des écoles de conduite.
Enfin, une bonne endurance physique et une organisation rigoureuse sont indispensables : ce métier inclut de longues heures au volant, des trajets et des horaires parfois décalés (soirées, pauses déjeuner, week-ends).
Les chiffres-clés
- Le secteur de la formation à la conduite compte environ 11 500 entreprises auto-école pour 13 500 agences sur le territoire français.
- La profession compte environ 28 000 enseignants habilités.
- En 2024, 1 487 154 personnes se sont inscrites à une formation à la conduite toutes catégories de permis confondues, dont 1 179 102 pour le permis B.
- En 2024, le taux de réussite moyen au permis B était de 58,8 % (75 % pour les candidats ayant opté pour la conduite accompagnée).
- Le coût moyen d’un permis de conduire B (Code + forfait 20 heures) se situe entre 1 000 € et 2 000 € selon la région.
- Les auto-écoles en ligne représentent 7% du secteur de la formation à la conduite.
- 99 % des établissements de formation à la conduite proposent la formation au permis B, et environ 20 % au permis BE.
- 48 % dispensent la formation au permis A/A1.
- 11 % proposent la formation au permis C et CE.
- 11 % proposent la formation au permis D et ED.